Le nouveau projet de la compagnie
CATATAC souhaite aborder le thème
de l’écologie en explorant le lien à la
mère et les pulsions qui s’y rattachent.
On raconte en psychologie que c’est
quand le matricide symbolique n’a
pas eu lieu qu’il risque de se produire
dans la réalité.
Le nouveau projet de la compagnie
CATATAC souhaite aborder le thème
de l’écologie en explorant le lien à la
mère et les pulsions qui s’y rattachent.
On raconte en psychologie que c’est
quand le matricide symbolique n’a
pas eu lieu qu’il risque de se produire
dans la réalité.
Le nouveau projet de la compagnie
CATATAC souhaite aborder le thème
de l’écologie en explorant le lien à la
mère et les pulsions qui s’y rattachent.
On raconte en psychologie que c’est
quand le matricide symbolique n’a
pas eu lieu qu’il risque de se produire
dans la réalité.
Pour ce nouveau projet, Catherine Travelletti souhaite mettre les outils du théâtre et de la dramathérapie au service des problèmes environnementaux et de leurs enjeux. Convaincue que l’assainissement de notre lien à la terre passe avant tout par un assainissement de nos écosystèmes intérieurs, elle aimerait avec Matricide montrer qu’un chemin vers un état d’équilibre est possible, une sorte de réconciliation psychique, essentielle à tout changement vers un mode de vie plus éco-responsable. Le pouvoir cathartique, dont nous parle Aristote fait du théâtre un art précieux et unique, où nous pourrons peut-être laver nos affects écocides. En partant du constat que, la plupart du temps nos pulsions et nos affects refoulés sont les auteurs de nos comportements les plus destructeurs, Catherine Travelletti souhaite donner le rôle principal à cette part d’instinct qui nous habite, la part matricide.