L’Amour Fou (du Théâtre)

Performance de la répétition sur La Mouette d’Anton Tchekhov
(d’après le film L’Amour Fou de Jacques Rivette)

Ce n’est pas une énième interprétation de La Mouette. C’est l’exploration de l’ensemble de ses possibles, dans un processus patient, minutieux et réinventé chaque jour.

L’Amour Fou est un film de Jacques Rivette (1969) qui superpose
volontairement trois projets : un groupe d’acteur.rice.s qui répètent un
spectacle, un réalisateur (André Labarthe) qui tourne un documentaire
sur leur travail, et un autre réalisateur (Jacques Rivette) qui filme l’ensemble, au théâtre et dans la vie.

L’Amour Fou (du Théâtre)

Performance de la répétition sur La Mouette d’Anton Tchekhov
(d’après le film L’Amour Fou de Jacques Rivette)

Ce n’est pas une énième interprétation de La Mouette. C’est l’exploration de l’ensemble de ses possibles, dans un processus patient, minutieux et réinventé chaque jour.

L’Amour Fou est un film de Jacques Rivette (1969) qui superpose
volontairement trois projets : un groupe d’acteur.rice.s qui répètent un
spectacle, un réalisateur (André Labarthe) qui tourne un documentaire
sur leur travail, et un autre réalisateur (Jacques Rivette) qui filme l’ensemble, au théâtre et dans la vie.

Et Si Tu N’existais Pas, Dis-Moi Pour Qui J’existerais ?

“Le corps des femmes; un lieu de violence et de désir. Un sexe porteur de vie mais aussi de nombreuses injonctions. Celle de devenir mère, puis celle d’être une « bonne » mère, celle de retrouver son corps d’avant et celle d’être une femme indépendante malgré tout. Une femme ou plusieurs femmes se racontent dans des expériences émotionnelles et brutes où la violence faite au corps féminin transparaît. Un dialogue intime et intimiste se crée avec elles-mêmes et avec les spectateurs. Et puis il y a Fabienne, la poupée qu’elle a, qu’elles ont tant aimée et qui à présent tire les ficelles de son propre jeu. Au fil de la pièce, la thématique s’élargit et aborde, en plus de la question de la maternité, la sexualité des femmes et la relation à leur propre corps.”